Sep. 13th, 2009

svetlana_desmon: (bi)
Voilà, c'est dit, je ne me ferais pas vacciner. Point barre.
Et ce n'est pas un simple caprice.


1. Je n'aime pas les vaccins. Raison futile, je l'admets, mais s'en est une, et la meilleure.

2. Les effets secondaires en sont méconnus et il n'est pas dit que les personnes qui se feront vacciner ne se retrouverons pas dans un fauteuil comme certains qui ont eu celui de l'hépatite B. Alors non, je tiens à garder la santé - bien que pas très bonne - que j'ai encore. Et quand on sait que je chope toujours un ou deux effets secondaires pour la majorité des traitements que je prends...

3. La grippe A fait beaucoup moins de morts qu'une grippe dite "ordinaire". Et puis, je suis habituée à avoir la grippe, il m'est déjà arrivé de l'attraper deux fois au cours d'un même hiver.

4. Je vis dans un pays dans lequel la majorité des gens ont accès aux soins. Enfin, aux soins "légers", je ne parle pas d'hospitalisation qui, elle, est très coûteuse, surtout quand on a pas de mutuelle. Par contre, il y a de nombreux pays où la population n'a aucun accès aux services de santé, et par conséquent aux médicaments. Je trouve donc qu'il est inadmissible que l'on dépense des fortunes pour acheter des vaccins pour une maladie qui se soigne facilement avec de simple antibiotiques. Il serait préférable d'utiliser cet argent pour trouver des remèdes aux maladies qui font des millions de morts dans les pays du Sud.

4 bis. Le coût de cette "mascarade" : 1,5 milliard d'euros. Après on aura le culot de vouloir diminuer les remboursements de médicaments ou de soins et vouloir augmenter les cotisations sous prétexte que la Sécu a un "trou" de 20 milliard d'euros. Quand on voit la façon dont l'argent des contribuables est dépensé, on comprend d'où vient ce déficit : envoi de la même lettre en trois exemplaires en une journée ( expérience personnelle ), achat de vaccins dont l'efficacité reste à prouver ( et dont on ne sait même pas si ils seront utilisés, ni quand ),...


Bref...